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9 novembre 2012 5 09 /11 /novembre /2012 00:20

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"Brèves de comptoirs" de Jean-Marie GOURIO

Editions Pocket 2008 - Editions. R.Laffont 2007

4ème de couverture

Vingt ans déjà qu'il hante les bistrots, les squares, les magasins, les coins de rue. Vingt ans que, carnet en main, Jean-Marie Gourio, entend et recueille des merveilles de poésie, d'absurdité et de bouffonnerie.
Au Comptoir des amis, au Balto, Chez Fernand, dans la quiétude ou la bousculade, surgit une étrange et fugitive littérature du quotidien, une musique de petites phrases sur tout et sur rien, sur le monde et la vie. Des brèves, dont le mystère, l'idiotie, la folie ou la sagesse cachée constituent une fête inépuisable du langage humain.
Pour leur vingtième anniversaire, Jean-Marie Gourio nous offre des centaines de brèves inédites, ces minuscules et anonymes chefs-d'oeuvre du génie populaire.

 

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"L'attrape-coeurs" de J.D.Salinger

Editions Pocket - 2002

4ème de couverture

Phénomène littéraire sans équivalent depuis les années 50, J. D. Salinger reste le plus mystérieux des écrivains contemporains, et son chef-d'oeuvre, "L'attrape-coeurs", roman de l'adolescence le plus lu du monde entier, est l'histoire d'une fugue, celle d'un garçon de la bourgeoisie new-yorkaise chassé de son collège trois jours avant Noël, qui n'ose pas rentrer chez lui et affronter ses parents. Trois jours de vagabondage et d'aventures cocasses, sordides ou émouvantes, d'incertitude et d'anxiété, à la recherche de soi-même et des autres. L'histoire éternelle d'un gosse perdu qui cherche des raisons de vivre dans un monde hostile et corrompu.

«La vie est un jeu, mon garçon. La Vie est un jeu qu'on doit jouer selon les règles.»
«Oui, m'sieur. Je le sais. Je le sais bien.»
Un jeu, mes fesses. Quel jeu. Si vous vous mettez du côté où il y a tous les coups intéressants, alors c'est un jeu, d'accord - je veux bien l'admettre. Mais si vous êtes de l'autre côté, celui où il n'y a rien d'intéressant, à quoi rime le jeu ? A rien. Il n'y a pas de jeu.

 

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"La couleur des sentiments" de Kathryn Stockett

Editions Jacqueline Chambon - 2010

Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Pierre Girard

4ème de couverture

Chez les Blancs de Jackson, Mississipi, ce sont les Noires qui font le ménage, la cuisine et s’occupent des enfants. On est en 1962, les lois raciales font autorité. En quarante ans de service, Aibileen a appris à tenir sa langue. L’insolente Minny, sa meilleure amie, vient tout juste de se faire renvoyer. Si les choses s’enveniment, elle devra chercher du travail dans une autre ville. Peut-être même s’exiler dans un  autre Etat, comme Constantine, qu’on n’a plus revue ici depuis que, pour des raisons inavouables, les Phelan l’ont congédiée.

Mais Skeeter, la fille des Phelan, n’est pas comme les autres. De retour à Jackson au terme de ses études, elle s’acharne à découvrir pourquoi Constantine, qui l’a élevée avec amour pendant vingt-deux ans, a pu partir sans même lui laisser un mot.

Une jeune bourgeoise blanche et deux bonnes noires. Personne ne croirait à leur amitié ; moins encore la toléreraient. Pourtant, poussées par une sourde envie de changer les choses, malgré la peur, elles vont unir leurs destins, et en grand secret écrire une histoire bouleversante.

Passionnant, drôle, émouvant, La Couleur des sentiments a conquis l’Amérique avec ses personnages inoubliables. Vendu à plus de deux millions d’exemplaires, ce premier roman, véritable phénomène culturel outre-Atlantique, est un pur bonheur de lecture.

 

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"Les mémoires d'un chat de gouttière" de Mihuel Haler

Editions AIRVEY - 2011

Résumé de l'éditeur

« Dans sa préface, Joseph Joffo décrit parfaitement l’ambiance à la fois drôle et captivante que recèle ce roman inclassable. On vole de page en chapitre comme un chat saute de table en chaise, en savourant des moments si forts d’humanité, de sagesse et bien sûr, d’humour.

Qui n’a jamais rêvé de se métamorphoser, de se changer en animal, le temps de déguster de nouvelles émotions ? Caché sous l’anonymat, l’insignifiance apparente de cette autre peau, quel plaisir, que d’émotions en découvrant une autre réalité de la vie et peut-être de celle de ses proches… ».

 

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"Charly 9" de Jean Teulé

Editions Pocket 2012

4ème de couverture

Charles IX fut de tous nos rois de France l'un des plus calamiteux.
À 22 ans, pour faire plaisir à sa mère, il ordonna le massacre de la Saint-Barthélemy, qui épouvanta l'Europe entière. Abasourdi par l'énormité de son crime, il sombra dans la folie. Courant le lapin et le cerf dans les salles du Louvre, fabriquant de la fausse monnaie pour remplir les caisses désespérément vides du royaume, il accumula les initiatives désastreuses.
Transpirant le sang par tous les pores de son pauvre corps décharné, Charles IX mourut à 23 ans, haï de tous.
Pourtant, il avait un bon fond. Lire un extrait

 

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"Moloch" de Thierry Jonquet

Editions Folio Policier - 2001

Résumé chez l'éditeur

Une maisonnette d'apparence banale, dressée au fond d'un terrain vague. Et toute une équipe de police hébétée, certains pleurant, d'autres hagards, la gorge nouée par le dégoût, la colère ou la honte, tous à songer à ce qu'ils avaient fait une demi-heure plus tôt avant qu'on ne les appelle, avant de traverser cette ruelle labourée par les pelleteuses, avant de s'approcher de ce pavillon et d'en franchir la porte. Avant. Car rien ne serait plus jamais pareil.

 

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"Mygale" de Thierry Jonquet

Editions Folio policier - 1999

Résumé chez l'éditeur

«Alex était parti, après avoir embrassé le vieux. Huit jours plus tard, il attaquait la succursale du Crédit Agricole et tuait le flic. Au village, tout le monde devait avoir gardé la page du journal, avec la photo d'Alex à la Une et celle du flic en famille.»

 

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"L'enfant du bagne" de Marie-Jo Audouard

Editions Fixot -1999

4ème de couverture

Mari-Jo Audouard a recueilli les confidences de Paul qui fut, il y a trente ans, au centre de redressement de Tatihou, un véritable enfant du bagne.

 

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"Ils désertent" de Thierry Beinstingel

Editions Fayard - 2012

4ème de couverture

Ses collègues l’appellent l’« ancêtre » ou l’« ours », peu importe le surnom, pourvu qu’on lui concède sa vie de solitude sur les routes. Il est VRP en papier peint depuis quarante ans. Soudain, sa hiérarchie voudrait qu’il vende aussi des canapés. Mais quand il songe au temps qu’il a fallu à l’espèce humaine pour apprendre à se tenir debout, il juge cette évolution déshonorante. D’où lui vient une telle idée ? Peut-être de la correspondance de Rimbaud… Car, en chemin, toujours, il emporte les oeuvres du plus célèbre voyageur de commerce. C’est une toute jeune femme sans beaucoup d’appuis, elle ne doit son diplôme de commerce qu’à son mérite. Et elle vient d’être nommée à la tête de l’équipe de ventes !

Salaire inespéré, qui lui a permis d’acheter à crédit un appartement trop grand pour elle, dont une pièce reste obstinément vide. Y installerat-elle un canapé ? Peut-être le jour où elle fera une rencontre amoureuse qu’elle ne jugera pas comme une menace. La première mission de la jeune femme est claire : licencier l’ancêtre sans délais. Ils devraient s’affronter. Mais l’être humain trouve parfois d’étonnantes ressources pour braver la logique d’entreprise en se réinventant un destin.

 

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"Tigre tigre !" de Margaux Fragoso

Editions Flammarion - 2012

Tigre, tigre ! est un récit autobiographique 

Résumé chez l'éditeur

Par une belle journée d'été, Margaux Fragoso rencontre Peter Curran à la piscine de son quartier, et ils commencent à jouer. Elle a sept ans ; il en a cinquante et un. Quand Peter l'invite chez lui avec sa mère, la petite fille découvre un paradis pour enfant composé d'animaux exotiques et de jeux. Peter endosse alors progressivement, insidieusement, le rôle d'ami, puis de père, et d'amant. Charmeur et manipulateur, Peter s'insinue dans tous les aspects de la vie de Margaux, et transforme l'enfant affectueuse et vive en une adolescente torturée. Lyrique, profond et d'une limpidité hypnotique, Tigre, tigre ! dépeint d'une manière saisissante les forces opposées de l'emprise et de la mémoire, de l'aveu et du déni, et questionne nos capacités de guérison. Un récit extraordinaire qui dévoile de l'intérieur la pensée d'une jeune fille au bord de la chute libre.

« Tigre, tigre ! est un livre qui va faire parler de lui. Margaux Fragoso réalise l'impossible : d'une plume précise et audacieuse, elle rend son humanité au pédophile dont le crime n'en devient alors que plus effrayant. Sa façon de décrire leur relation est tout à la fois choquante, révélatrice et courageuse. Comme récit d'une victime, c'est passionnant ; en tant qu'ouvrage de littérature, c'est un triomphe. » Alice Sebold, auteur de La Nostalgie de l'ange. Interview de Margaux Fragoso

 

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"Rue des voleurs" de Mathias Enard

Editions Acte  sud - 2012

4ème de couverture

C’est un jeune Marocain de Tanger, un garçon sans histoire, un musulman passable, juste trop avide de liberté et d’épanouissement, dans une société peu libertaire. Au lycée, il a appris quelques bribes d’espagnol, assez de français pour se gaver de série Noire. Il attend l’âge adulte en lorgnant les seins de sa cousine Meryem. C’est avec elle qu’il va « fauter », une fois et une seule. On les surprend : les coups pleuvent, le voici à la rue, sans foi ni loi.

Commence alors une dérive qui l’amènera à servir les textes – et les morts- de manière inattendues, à confronter ses cauchemars au réel, à tutoyer l’amour et les projets d’exil.

Dans Rue des voleurs, roman vif et sur le vif, l’auteur de Zone retrouve  son territoire hypersensible à l’heure du Printemps arabe et des révoltes indignées. Tandis que la Méditerranée s’embrase, l’Europe vacille. Il faut toute la jeunesse, toute la naïveté, toute l’énergie du jeune Tangérois pour traverser sans rebrousser chemin le champ de bataille. Parcours d’un combattant sans cause, Rue des voleurs est porté par le rêve d’improbables apaisements, dans un avenir d’avance confisqué, qu’éclairent pourtant la compagnie des livres, l’amour de l’écrit et l’affirmation d’un humanisme arabe.  

« LE 17 DÉCEMBRE 2010, Muhammed Bouazizi, marchand ambulant, s’immole par le feu à Sidi Bouzid et déclenche la Révolution tunisienne. La révolte naît du désespoir ; elle commence par porter la main sur soi, par un sacrifice. La perte de patience. Le suicide ou l’action. Le Printemps arabe, longtemps attendu, commence dans la mort.“L’arc se tord, le bois crie. Au sommet de la plus haute tension va jaillir l’élan d’une droite flèche, du trait le plus dur et le plus libre” : ainsi Camus terminait-il son Homme révolté. Les mois qui ont suivi ont vu la défaite de dictateurs sous les coups de la révolte, la difficulté de l’établissement de la justice et de la démocratie, les victoires des partis islamistes au Maroc, en Tunisie, en Égypte. Aujourd’hui, une guerre terrifiante se poursuit en Syrie ; la campagne présidentielle française a atteint des sommets de xénophobie et de bêtise, la crise économique jette l’Europe du Sud dans la violence et la tentation du fascisme.Tout cela m’est apparu comme différents visages d’un même combat en cours, le combat pour la liberté, pour le droit à une existence digne, qu’il se livre en Tunisie, en Égypte, en Espagne ou en France.J’ai entrepris de raconter ces luttes, à travers un voyage dans ce champ de bataille qu’est notre univers – Tanger, Tunis, Algésiras et Barcelone en sont les principales étapes. Un roman d’aventures, de l’aventure tragique du monde d’aujourd’hui. On y croisera des jeunes qui rêvent d’un avenir meilleur, d’autres qui n’en rêvent plus, des islamistes, des musulmans, des mendiants, des putains, des voleurs – et des livres, beaucoup de livres, qui restent, en définitive, avec le feu, la seule façon de combattre les ténèbres. » Mathias Énard Livre disponible à la bibliothèque de Fécamp.


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"L'écrivain de la famille" de Grégoire Delacourt

Editions JC Lattès - 2011 ( parution Poche -2012)

4ème de couverture :
Je venais d'avoir le bac de justesse. Ma soeur avait quatorze ans, elle écoutait Sheila chanter Hôtel de la plage avec les B. Devotion, allongée sur son lit. Il y avait des posters de Richard Gere et de Thierry Lhermitte sur les murs. Elle croyait au prince charmant. Elle avait peur de coucher avec un garçon, à moins qu'il ne fût le prince. Elle m'avait demandé si ça avait été bien ma première fois et j'avais répondu, d'une voix douce, oui, oui, je crois que c'était bien, et elle avait eu envie qu'on dise ça d'elle un jour, juste ça, oui, oui, c'était bien.
Et puis notre frère était entré dans la chambre, il nous avait couverts de ses ailes et nos enfances avaient disparu.

À sept ans, Edouard écrit son premier poème. Trois rimes pauvres qui vont le porter aux nues et faire de lui l'écrivain de la famille. Mais le destin que les autres vous choisissent n'est jamais tout à fait le bon...
Avec grâce et délicatesse, Grégoire Delacourt nous conte une histoire simple, familiale, drôle et bouleversante.

 

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"Le papillon des étoiles" de Bernard Werber

Editions Albin Michel - 2006

Résumé de l'auteur

Cette planète est notre berceau mais nous l'avons saccagée.
Nous ne pourrons plus jamais la soigner ni la retrouver comme avant.
Quand la maison s'effondre, il faut partir.
Recommencer tout,
autrement et ailleurs.
Le Dernier Espoir, c'est la fuite.
Décidant d'aller voir si l'aventure humaine peut recommencer ailleurs, un jeune ingénieur en aéronautique conçoit et fabrique un gigantesque voilier solaire capable de se propulser dans le vide interstellaire. A son bord, 144.000 passagers, dont la descendance aura une chance de parvenir à destination, après un voyage de 1000 ans.

 

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"La porte des enfers" de Laurent Gaudé

Editions Actes-Sud 2008
4ème de couverture
Au lendemain d’une fusillade à Naples, Matteo voit s’effondrer toute raison d’être. Son petit garçon est mort. Sa femme, Giuliana, disparaît. Lui-même s’enfonce dans la solitude et, nuit après nuit, à bord de son taxi vide, parcourt sans raison les rues de la ville.
Mais, un soir, il laisse monter en voiture une cliente étrange qui, pour paiement de sa course, lui offre à boire dans un minuscule café. Matteo y fera la connaissance du patron, Garibaldo, de l’impénitent curé don Mazerotti, et surtout du professeur Provolone, personnage haut en couleur, aussi érudit que sulfureux, qui tient d’étranges discours sur la réalité des Enfers. Et qui prétend qu’on peut y descendre…
Ceux qui meurent emmènent dans l’Au-Delà un peu de notre vie, et nous désespérons de la recouvrer, tant pour eux-mêmes que pour apaiser notre douleur. C’est dans la conscience de tous les deuils – les siens, les nôtres – que Laurent Gaudé oppose à la mort un des mythes les plus forts de l’histoire de l’humanité. Solaire et ténébreux, captivant et haletant, son nouveau roman nous emporte dans un “voyage” où le temps et le destin sont détournés par la volonté d’arracher un être au néant.

 

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"Le magasin des suicides" de Jean Teulé

Editions Julliard - 2007

4ème de couverture
Imaginez une petite entreprise où l’on vend depuis dix générations tous les ingrédients pour se suicider. Bienvenue dans le Magasin des Suicides, au célèbre slogan : "Mort ou remboursé!" Mishima Tuvache, le père, spécialisé dans les morts violentes, dirige la maison d’une main de fer. Lucrèce, la mère, adepte de l’empoisonnement, confectionne elle-même des mixtures fatales. Vincent, le fils aîné, projette la création d’un parc d’attractions sur le thème du suicide. Sa sœur, Marilyn, qui se croit moche et inutile, voudrait en finir avec l’existence, mais ses parents lui rappellent que : "Chez les Tuvache, on ne peut pas se suicider parce que sinon qui tiendrait le magasin?"
Dans cette famille malheureuse et contente de l’être, le destin a frappé le jour où Mishima et Lucrèce ont testé un préservatif poreux destiné à ceux qui veulent mourir par contamination sexuelle. C’est ainsi qu’est né le petit dernier, Alan, que la nature a doté d’un horrible défaut : il adore la vie. Un enfant pareil, c’est un coup du sort. Il console les clients, sème une joyeuse pagaille avec son sens de l’humour et ses chansons. Mishima en fait une dépression et doit s’aliter quelques jours, le temps pour Alan de métamorphoser la boutique avec l’aide de sa mère, sa sœur et son frère, atteints par son optimisme.
Dorénavant, le M.D.S. (Magasin des Suicides) devient une sorte de M.J.C. locale où les clients se retrouvent pour faire la fête et chercher des solutions à l’avenir du monde. Tout cela se terminera peut-être dans une sorte d’apothéose, car, finalement, le pire n’est jamais sûr!

 

Le magasin des suicides a été librement adapté au cinéma par Patrice Leconte (Film d'animation - mai 2012)


 

 

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"Femna" de Nordine Hassani

« Ce livre est le résultat d’un travail de résidence d’écriture sur le département des Hautes-Alpes. Après m’être immergé dans les villes de Gap, Briançon et Mont-Dauphin, je suis allé à la rencontre de leurs habitants, de leurs maisons, de leurs géographies. Ces villes m’ont ouvertes leurs portes sur leur présent, leur passé et leur futur. […].
Tout cela a fait jaillir de mon imaginaire, l’écriture d’une légende avec un personnage central, une femme. Cette femme écoute les pierres et transmet leurs histoires.
»
Nordine Hassani

 

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"Nos cheveux blanchiront avec nos yeux" de Thomas Vinau

Editions Alma - 2011

Editions 10/18 - 2012

Résumé

Le voyage géographique et intime d’un jeune homme qui devient père. Walther quitte la femme qu’il aime pour aller vagabonder du nord au sud, des Flandres laiteuses jusqu’à l’Espagne éclatante. Un voyage qui finira par le ramener, presque par hasard à l’essentiel, vers celle qui a su le laisser partir et attendre leur enfant. Composé d’instantanés d’une grande délicatesse, ce roman est conçu en deux parties : les jours d’errance puis la vie à demeure, les lointains dépaysants et l’art des petits riens. Lire un extrait - Le site de l'auteur

 

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